Originellement préservée de labyrinthe blanc, la balle de tennis est devenue jaune en 1968, au début de l’ère open, pour une meilleure visibilité. Elle est formé par deux éléments de noyau à partir d’une matière soutirée par du caoutchouc et d’autres composants, d’après les artisans. Ces deux côtés sont assemblés entre eux et créent un cercle remplie d’air. La balle est couverte de coiffure, à base de laine.
Les balles pression
Ce sont des balles vives et promptes pour les entraînements. En variant l’épaisseur du feutre, on produit des balles plus ou moins rapides accédant d’arranger le saut à la nature des distance court. Ce type de balle peut être utilisé en compétition, et doit être validée par la fédération internationale de tennis avec un poids compris entre 56,70 g et 58,5 g. Les modèles au caoutchouc potentiellement condensé, sans air et sans pression, rarement usées mais pourvu d’une durée de vie plus prospère. Il y a aussi les balles entremetteurs dont la lucidité se trouve entre la balle de mini-tennis et celle depuis la création d’origine, facile à maîtriser, agréable au toucher, amplement vive pour réaliser des coups gagnants. Elle permet de jouer sur le court entier et est adaptée pour la catégorie 9 et 10 ans.
Les balles mini-tennis
Balles souples ressemblant à de vraies balles de tennis, et prend de l’allure par une vitesse plus lente, un faible rebondissement et une palpation plus délectable. De ce fait, ces balles nous font gagner du temps et donner le droit à l’erreur de frappe. Les débutants ont la permission de se lâcher librement dans la frappe sans se soucier d’une quelconque faute et les poussent à jouer d’une manière plus détachée. Elles contribuent à l’initiation à la technique. Les balles en mousse, ces formes géométriques provoquent un rabais de la vitesse et les rendent plus contrôlable.